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picto Communiqué de presse - 21.06.2018

Guyot environnement embarque avec Olivier Le Fichous sur le circuit Mini 6.50

Déjà engagé dans le monde de la course au large au travers du projet Figaro Bénéteau de Pierre Leboucher, Guyot environnement choisi de renforcer son engagement dans ce domaine en apportant son soutien à Olivier Le Fichous. Un partenariat fort, largement orienté sur la communication interne pour l’entreprise spécialisée dans la récupération, le traitement et la valorisation des déchets en Bretagne puisque le skipper du Mini 6.50 à ses couleurs n’est autre que son responsable du développement. Un pari audacieux, mais rempli de sens pour la société qui souhaite faire vivre la grande aventure d’une transatlantique en solitaire (et toute sa préparation) à l’ensemble de ses collaborateurs… et bien plus encore.

 

Chez Guyot environnement, on aime les histoires d’hommes et les passions. Voilà précisément tout le sens de ce nouveau partenariat que l’entreprise a choisi d’établir avec Olivier Le Fichous, l’un des ses collaborateurs. Son responsable de développement, pour être précis. « Olivier a rejoint la société il y a maintenant cinq ans. C’est un peu lui qui nous a dirigé vers le projet Figaro que nous avons initié avec Vincent Biarnès et que nous poursuivons aujourd’hui avec Pierre Leboucher. C’est quelqu’un de foncièrement passionné. Vraiment à la pointe de ce qui se passe sur l’eau », explique Erwan Guyot, directeur général de Guyot environnement qui s’est trouvé séduit par l’idée d’accompagner un amateur et collaborateur sur toute sa préparation à la Mini Transat 2019. « Nous ne souhaitons toutefois pas lui mettre de pression sur les épaules. C’est d’ailleurs un projet sur lequel nous ne mettons pas de date. Ce qui nous motive avant tout, c’est d’aider Olivier à vivre sa passion et à la partager en interne afin de faire vibrer nos collaborateurs à travers l’Atlantique, de la même manière que Pierre Leboucher et Christopher Pratt l’ont fait lors de la Transat AG2R La Mondiale le mois dernier », détaille Erwan Guyot, bien conscient de la difficulté de mener un tel projet tout en conciliant ses obligations professionnelles, ce que ne néglige pas non plus Olivier Le Fichous.

Réussir à concilier voile et travail

« Pour moi, l’idée, c’est vraiment d’aller au bout en réussissant à tout combiner », commente le skipper amateur qui fait ses premiers pas cette saison en Mini 6.50, mais aussi en compétition. « Jusqu’ici, je n’ai participé qu’à quelques régates en Caravelle. Je viens donc un peu de loin, mais j’aime relever les défis », détaille le responsable développement âgé de 39 ans, qui compte toutefois deux transats à son actif (une par le sud et l’autre par le nord). « De ce fait, j’ai quand même un aperçu de ce qui m’attend mais pour ne rien cacher, les premiers entraînements ont été un peu durs et compliqués face à des marins semi-professionnels. Une vraie remise en question », souligne Olivier qui a choisi d’intégrer le centre de Concarneau pour progresser et se préparer au côté d’une quinzaine d’autres concurrents. « Les choses avancent dans le bon sens », assure le navigateur qui s’alignera dès le 23 juin prochain au départ de la Mini Fastnet en duo avec David Johnes, avant d’enchaîner avec la Duo Concarneau puis la Chrono 6.50 en septembre. « Je n’ai pas la prétention d’arriver au niveau des meilleurs mais seulement celle d’aller au bout de mon projet avec le soutien de tous mes collègues en me qualifiant à la Mini Transat 2019, même si les places promettent d’être chères. »


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