Si le mois qui vient de s’écouler a été consacré au chantier de son nouveau Figaro Bénéteau 3, Anthony Marchand entame désormais ses premières navigations. « Nous avons directement enchaîné avec un stage au Pôle Finistère Course au large. Lors du chantier, j’ai pris le temps de faire les choses bien. Le fait de mettre la main à la pâte m’a permis d’appréhender et de commencer à comprendre la machine », commente le skipper de Groupe Royer – Secours Populaire qui se réjouit néanmoins de passer à l’étape suivante, en mer. « L’idée, c’était de ne pas mettre le bateau à l’eau plus tard pour avoir le temps de naviguer avant les premières échéances. Il va falloir bouffer des milles car clairement, il y a tout à apprendre et à découvrir. Pour le moment, je suis content des premières sensations à bord, même si j’ai conscience qu’il va y avoir pas mal de taf avant de s’approprier le bateau », avance le Costarmoricain dont le premier gros objectif sera la Sardinha Cup, l’épreuve qui ouvre la saison 2019 du circuit. Cette course se joue en trois temps (un prologue et deux grandes courses de 395 à 675 milles au départ et à l’arrivée du pays de Saint-Gilles), entre le 26 mars et le 14 avril prochains. S’approprier le bateau au plus vite
« Cette course sera hyper importante en termes d’appropriation du bateau. Elle va donner les bases sur la manière de faire », souligne Anthony qui a choisi de s’entourer, pour l’occasion, du talentueux Paul Meilhat, le récent vainqueur de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe qui s’est aussi illustré en Figaro en remportant notamment la Transat AG2R La Mondiale 2014. « Paul et moi, on est des potes de longue date. Ensemble, on a notamment couru le Tour de Bretagne à la Voile 2017. Pour moi, ça a été un choix assez naturel », explique Anthony qui se réjouit de ce duo, tout comme Paul. « Cela me fait très plaisir de découvrir le nouveau Figaro et de régater avec Anthnoy sur le circuit où il va définitivement y avoir du beau monde cette année. La Sardinha Cup représente les trois-quarts d’une Solitaire du Figaro en nombre de milles, c’est un super format de course. En naviguant ensemble, on va pouvoir échanger et partager sur ce nouveau support afin qu'il puisse être performant sur toute la saison. Il faudra réussir à être fort physiquement et mentalement », note le marin. Sentiment partagé par Anthony. « On remet tous les compteurs à zéro avec le changement de support. C'est pour cela que la grosse priorité, c’est de naviguer le plus possible et de le faire à fond tout le temps », termine le skipper du Groupe Royer - Secours Populaire qui sait l’importance de ne pas prendre de retard à l’allumage pour être en mesure d'être aux avant-postes au plus vite. ---------------------------------------------------------------------- À PROPOS du Groupe Royer : 1945 : Louis Royer crée une société de négoce en chaussures 1975 : Jacques et Alain, fils du fondateur, intègrent la société 1989 : Ouverture d’un comptoir en Asie Cette ouverture sur le monde, transforme cette société en mouvement en un Groupe, qui en 2018 est le n°1 français dans l’import – export de chaussures de marques sur le territoire national et dotée d’un large portefeuille de marques en propres, en licences et en marques de distributeurs dans différents univers : Sport : New Balance, Umbro, Hungaria (marque française depuis 1931), Everlast
Junior : Kickers, Mod8, Aster
Mode : Charles Jourdan, Von Dutch, Stéphane Kélian
Diffusion : Lulu Castagnette, Hello Kitty et Rica Lewis Le Groupe Royer en chiffres :
650 collaborateurs en France & 800 dans le monde
35 marques de chaussures
23 millions de paires de chaussures commercialisées en 2018
Exportation vers 70 pays dans le Monde | 
